Mel B poursuivi en justice par un coiffeur prétendant qu'elle avait illégalement prescrit des médicaments en son nom

Mel B vient d'être poursuivie par son ancien coiffeur qui prétend que travailler avec elle est devenu si mauvais, qu'elle a même regardé en utilisant son nom sur les ordonnances pour obtenir ses médicaments.
Selon le procès, obtenu par The Blast, Mel a été poursuivi par Gary Madatyan qui dit qu'il était coiffeur pour les stars lorsqu'il a rencontré la star des `` Spice Girls ''.

Dans le procès, déposé par un avocat célèbre Ben Meiselas, Madatyan affirme que Mel B l'a séparé de toute sa vie, y compris emménager dans le même complexe d'appartements afin qu'il puisse faire tout pour elle, même la gérer.
Il prétend avoir reçu un salaire de 10 000 $ par mois, mais 7 000 $ de ce montant correspondait à la location mensuelle de l'appartement.
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Après avoir travaillé comme coiffeuse, il est rapidement devenu son assistant, majordome et même partiellement son manager.

Ensuite, il dit que les choses ont mal tourné. Il dit qu'un célèbre médecin, Charles Sophy, a commencé à travailler avec elle en tant que `` médecin personnel '' et à travailler avec ses enfants sur une affaire de garde avec son ex-mari Stephan Belfonte.
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À un moment donné, il prétend que le médecin lui a 'prescrit des sels d'amphétamine en utilisant (son) nom, qu'il n'a pas autorisé ni accepté'. Les drogues étaient destinées à Mel B, et non à lui, et il s'est plaint de la situation.
Le styliste a inclus des messages texte dans son procès, où il interroge le Dr Charles Sophy sur l'utilisation de son nom dans les ordonnances.

Il dit qu'une fois qu'il a découvert la manipulation de son nom dans le but d'obtenir des ordonnances, il s'est plaint et a viré.
Dans les documents, le styliste affirme qu'il a également refusé de mentir au ministère des Services à l'enfance et à la famille de LA pour Mel B au sujet de la situation avec elle et Belafonte.
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Il dit qu'il critiquait le médecin qui «réprimandait et menaçait» de vouloir lui aussi mentir aux autorités.
Pour aggraver les choses, il dit que Mel B a accumulé un onglet de 200 000 $ sur ses cartes de crédit et en utilisant son compte bancaire de ses propres dépenses personnelles.

Le coiffeur poursuit pour licenciement abusif, infliction de détresse émotionnelle.